Regarde les choses en face !...

... Oui, c'est tellement dur parfois de voir les choses telles qu'elles sont…

Alors, nous évitons... Nous refoulons... Nous dénions...

Ce sont des mécanismes de défense.

Que nous mettons en place,

• quand nous ne savons pas faire autrement
• quand le changement est trop coûteux
• quand le conflit est trop fort entre nos pulsions (nos désirs conscients ou inconscients) et notre moral (nos valeurs).

Nous préférons nous protéger de tout ce qui pourrait venir perturber notre équilibre, tant qu'il tient. Nous maintenons un système qui fait semblant - qui tient bon - mais qui n'est pas nécessairement bon…

Ce que nous rejetons nous revient souvent sous une autre forme - un symptôme, une maladie, des difficultés relationnelles, amoureuses, une impossibilité à se positionner dans sa vie professionnelle, à prendre sa juste place.

Nous commençons alors à projeter sur les autres, à pointer du doigt des coupables, nous ne nous sentons pas concernés. Nous parlons des choses comme s'il ne s'agissait jamais de nous. Nous parlons sur tout et surtout sur rien, pour ne pas parler de ce qui compte vraiment.

Nous mettons sous le tapis et tentons de faire "bonne figure" pour ne pas aller au contact de ce qui nous préoccupe au fond, dans notre intime, dans notre vérité. Pour ne pas parler de ce qui nous réveille la nuit, de ce qui hante nos pensées, et nos actes - que nous le sachions ou pas.

Et voilà ce que cela donne dans la réalité :

Vous êtes amoureux(se), mais vous engager à dire à celle/celui que vous aimez ou à vivre cette histoire entrainerait trop de perturbations dans votre vie actuelle - alors, vous tenez la personne aimée à "bonne distance" - vous l'aimez, vous ne voulez/pouvez pas rompre le lien, mais votre résistance à assumer les conséquences morales de cet amour vous empêche de le vivre pleinement et vous finissez même par vous convaincre que vous ne l'aimez pas tant que ça.

Vous sentez le besoin de travailler sur vous à travers un accompagnement thérapeutique ou un coaching, mais ce plongeon abyssal vers soi vous effraie - qu'allez-vous y découvrir ? Quelles nécessaires transformations cela entrainera dans votre vie ? Face à ces inconfortables incertitudes, vous préférez faire de la cosmétique - vous allez faire du shopping pour vous "sentir bien!", vous décidez de refaire votre cuisine ou votre salle de bain.

Vous avez un projet professionnel, une grande idée, mais y aller c'est remettre en question le confort de votre salariat - alors, vous vous dites que c'est une idée saugrenue, que vous ne pourrez jamais y arriver - que d'ailleurs personne n'y arrive vraiment, que la conjoncture n'est pas bonne, que c'est pas le bon moment, qu'il y a la crise et l'âge de la retraite qui recule. Et vous restez dans votre routine parce que "c'est mieux".

Vous trouvez des alibis

pour ne pas vivre pleinement ce qui vous fait vibrer.

Ce qui demande d'affronter le frisson de notre existence.

Et ça tient... jusqu'au moment où ça ne tient plus…

Plus, nous nous autorisons avec attention et douceur cette conscience, plus nous pouvons approcher la profondeur et la puissance de notre présence ici sur cette Terre. Plus nous pouvons devenir créateur de nous-mêmes, de nos coopérations avec les autres et de nos contributions à ce monde.

Nos forteresses de protection nous donnent l'illusion d'être forts et indéboulonnables. Mais elles deviennent dureté et solitude impénétrables lorsque nous perdons le pouvoir de l'accueil à nos sentiments et à l'autre, lorsque nous perdons le pouvoir de la rencontre, et de la découverte. Nous sommes alors enfermés en nous-mêmes, protégés, mais enfermés.

Que se passerait-il si vous acceptiez de déposer les armes, de vous offrir la possibilité de voir au-delà des murs ?

Quelles menaces, quels défis seriez-vous prêt.e à braver ?

Et quelles merveilles pourriez-vous alors contempler ?

Désarmé-e, seriez-vous plus léger/ère ? Seriez-vous plus en mesure de mobiliser vos ressources ?

Déposant les armes et peut-être bien les larmes... Devient alors possible de regarder ce qui s'offre à nous. Libres de surgir, libres de vivre.

Jacques Lacan nous a transmis cette proposition :

«La seule chose dont on puisse être coupable, au moins dans la perspective analytique, c’est d’avoir cédé sur son désir. »

Honorer notre désir, le définir. Répondre à cette question existentielle initiale "Qu'est-ce que je veux ?" - La voici, l'invitation.

La semaine prochaine, je serai en Bretagne. Venez faire tomber les murs de votre forteresse au Château des Garennes (ça ne s'invente pas !).

LE 11 AVRIL à 18h30 – au Château Les Garennes à Clohars-Fouesnant

J'ai la joie d'être invitée par mon amie Anna-Gaël Kervella, psychologue clinicienne à Quimper et Présidente de l'Association Mia Stella.

"Les thèmes que l'association veut aborder sont larges : psychologie, sociologie, anthropologie, économie responsable, développement personnel ou spiritualité.

Les intervenants sont sélectionnés pour leurs compétences, leur savoir, et leur capacité à les partager avec le grand public."

Je suis donc honorée d'avoir reçu cette demande et de rejoindre la Bretagne pour vous voir !

J'y délivrerai ma conférence

"Souveraine".

Reprenez enfin votre leadership personnel

pour retrouver votre équilibre de vie

Je vous propose une réflexion sur votre statut de femme dans la société d’aujourd’hui, loin d’un combat purement « féministe »…

Vous êtes une femme et vous avez choisi de ne pas choisir !

• Vous voulez vivre pleinement votre couple, votre vie de famille, votre carrière, votre bien-être personnel ?
•  
• Vous avez envie d'être boostée et inspirée pour avancer dans vos projets de vie personnelle et professionnelle ?
•  
• Vous aimez apprendre et vous laisser nourrir par la richesse des parcours des autres ?

Cette conférence est faite pour vous !

Cette conférence sera suivie d’une séance dédicaces.

Dr. Ida GENNARI - EL HICHERI 
PSYCHOLOGUE SCEAUX PARIS

Spécialiste de soutien et de l'accompagnement des femmes HPI 
Psy&Co Développement